J'ai planté un frisia au bout de mon champs, perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps

Gilles Vignault a marqué bien des esprits avec sa chanson "j'ai planté un chêne", elle renvoie à la fable de la Fontaine sur le vieillard et les trois jeunes hommes, elle nous rappelle la nécessité du temps pour recueillir les fruits du travail de la terre mais aussi du lien de l'arbre entre les générations qui passent. 

J'ai donc planté un "frisia" et non un chêne, car le frisia appartenant à la famille des légumineuses, il a l'avantage d'enrichir  naturellement le sol en azote. Son ombrage limité par une taille annuelle, apportera un peu de fraîcheur au grès de la course du soleil aux alentours ( canicules à prévoir obligent). Ce seront quelques petits verdots qui en profiteront. Si l'expérience est concluante, il faudra profiter de tous les lieux où cela est possible et mieux encore d'inclure ce projet dans les plantations futures. 

C'est une déclinaison de la désormais à la mode "agroforesterie" !

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